Bilan premier trimestre de l'écurie

Le premier trimestre de l'année 2019 s’est achevé, il est temps pour l’écurie de tirer un premier bilan. Avec la baisse des allocations, nous avions une certaine appréhension en abordant cette saison comme bon nombre de professionnels. Au vu des premiers chiffres de l’année, nous sommes pour le moment sur les mêmes bases que l’an dernier, ce qui est assez rassurant vu la conjoncture actuelle.

Lors des trois premiers mois 2018, les chevaux de l’écurie avaient engrangé 122.940€ de gains, avec 7 succès obtenus durant cette période. Trois au cours du mois de janvier, un seul en février, puis trois nouvelles victoires en mars. Cette saison, nous avons obtenu des chiffres identiques, ce qui est assez incroyable. Dignité a ouvert notre compteur victoire à Cagnes-sur-Mer, puis Cracker et Bise Delo l’ont imité en l’emportant dans le sud-ouest en janvier. Espoir du Marny a empoché notre seul succès de février sur la cendrée de Vincennes, l’une des plus belles victoires de l’écurie pour le moment. En mars, le fils de Village Mystic a remis le couvert à Borély, Divine Bessin a ouvert son palmarès à Lyon la Soie, et Elie France s’est également mis en évidence sur l’hippodrome de Borély. Ce premier semestre s’est conclu par 7 succès et de nombreux accessits pour un total de 123.390€ de gains obtenus par les 30 chevaux de notre effectif, soit un ratio de 1416€ par cheval.

Nos meilleurs éléments ont été Espoir du Marny, fer-de-lance de l’écurie avec ses deux victoires, Chantereine, spécialiste des places d’honneur, Dignité d’une indéniable régularité, Elie France de retour au premier plan, Bise Delo la vraie mère courage, sans oublier Cracker, Boléro Love de Lou et Divine Bessin.

Pour le second trimestre, l’écurie compte beaucoup sur le retour de Darco Poterie. Cavino devrait également faire parler la poudre, sans oublier Eclair de Nice, Châtain Clair, Cri d’Amour ou encore Ebabiela et Eglantine du Monti. Bref, l’écurie a encore quelques beaux atouts dans sa manche pour atteindre les objectifs annuels. Pour le bien de l’écurie, nous n’avons pas d’autres choix que de faire aussi bien, si ce n’est mieux que l’an dernier, à savoir atteindre le seuil des 40 succès.